17/11/2010

Le nouveau gouvernement

Le nouveau gouvernement nommé cette semaine par Nicolas Sarkozy correspond clairement aux attentes : un gouvernement resserré, recentrée, concentré sur l'avenir de la France !
La région Rhône-Alpes est  bien représentée avec des promotions pour Michel Mercier, ministre de la Justice, et Nora Berra, ministre de la santé. Mention spéciale également pour notre voisin et ami Laurent Wauquiez promu au ministère des affaires Européennes, qui lui vont comme un gant étant donné sa grande expérience internationale.

Composition du gouvernement de François FILLON : 
Ministres d'Etat : 
M. Alain Juppé, ministre d’Etat, ministre de la défense et des anciens combattants ;
Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, coup de chapeau pour MAM qui en 8ans aura été à la tête des 4 plus gros ministères : défense, intérieur, justice et affaires étrangères !!
Ministres : 
Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement ;
M. Michel Mercier, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés ;
M. Brice Hortefeux, ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ;
Mme Christine Lagarde, ministre de l’économie, des finances et de l’industrie ;
M. Xavier Bertrand, ministre du travail, de l’emploi et de la santé ;
M. Luc Chatel, ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative ;
M. François Baroin, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement ;
Mme Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche ;
M. Bruno Le Maire, ministre de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l’aménagement du territoire ;
M. Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication ;
Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des solidarités et de la cohésion sociale ;
M. Maurice Leroy, ministre de la ville ;
Mme Chantal Jouanno, ministre des sports ;
Ministres rattachés : 
M. Patrick Ollier, ministre auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement ;
M. Eric Besson, ministre auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique ;
M. Henri de Raincourt, ministre auprès de la ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé de la coopération ;
M. Philippe Richert, ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales ;
M. Laurent Wauquiez, ministre auprès de la ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes ;
Mme Nadine Morano, ministre auprès du ministre du travail, de l’emploi et de la santé, chargée de l’apprentissage et de la formation professionnelle.
Mme Marie-Luce Penchard, ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargée de l’outre-mer ;
Secrétaires d'Etat : 
M. Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé du commerce extérieur ;
Mme Nora Berra, secrétaire d’Etat auprès du ministre du travail, de l’emploi et de la santé, chargée de la santé ;
M. Benoist Apparu, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement ;
M. Georges Tron, secrétaire d’Etat auprès du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat, chargé de la fonction publique ;
Mme Marie-Anne Montchamp, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale ;
M. Thierry Mariani, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports ;
M. Frédéric Lefèbvre, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé du commerce, de l’artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation ;
Mme Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, chargée de la jeunesse et de la vie associative.

08/11/2010

Les élèves manipulés... par les syndicats, et les autres !

      Lors des derniers mouvements de contestation de la réforme des retraites, les syndicats et et les politiques ont particulièrement compté sur les jeunes pour mener à bien leur tentative d'annulation de cette réforme et faire plier le Gouvernement et Parlement. Ils ont pour cela appelé directement collégiens, lycéens et étudiants à manifester, évidemment,  pendant les heures de cours.


     Mais en plus des tracts, les syndicats tentent de mobiliser les jeunes par le biais des professeurs. Or, pour l'élève, un professeur reste un exemple à suivre, un modèle car il est en charge d'une partie de son éducation. Les profs n'hésitent pas à rappeler durant leurs cours, les heures et lieux de manifestation et demandent directement aux élèves de s'y rendre. C'est tout simplement scandaleux !

      A cela s'ajoutent tous les autres jours de l'année scolaire où de nombreux profs se font les porte paroles de syndicats et partis politiques auprès des élèves pour dénigrer ouvertement les actions du Gouvernement et le Président de la République. Souvent on retrouve le dénigrement par de petites grimaces ou de l'ironie quand ils prononcent le nom de tel ou tel ministres... Nous avons tous fais les frais !

      Et le pire dans tout cela c'est que nes profs n'hésitent pas à nous dire qu'ils sont syndiqués ou à nous le montrer en distribuant des tacts à la sortie de l'établissement, arborent quotidiennement l'Humanité sur leur bureau et nous disent avec une forte détermination, que le PCF n'est pas un parti d'extrême gauche!!
      Ce comportement du professeur qui nous dévoile ouvertement et fièrement ses tendances politiques peut amener l'élève, qui ne sera pas forcément en accord avec cela, à cacher de son coté ses idées et se freiner lors d'une intervention dans sa classe ou dans une copie. Même si l'élève n'a pas à exprimer clairement ses opinions politiques il ne doit pas être amené à vivre dans la peur qu'un jour son professeur les découvre, ce qui lui vaudra une catégorisation négative qui ressortira avec l'attribution des notes. C'est ce que je vis depuis plusieurs mois dans mon lycée.

       Les syndicats, professeurs et personnalités politques responsables n'hésitent donc pas à demander clairement aux élèves de "descendre dans la rue", or on sait qu'à chaque manifestation de jeunes étudiants, ils sont menacés par des casseurs et autres voyoux car ils ne sont pas ou mal encadrés. Cela finit très souvent par des actes de vandalisme, de pillages, et par des blessés (actes commis par les jeunes mainfestants ou les casseurs).

      Et que dire des représentants de parents d’élèves, pour ne citer que la FCPE, qui soutiennent en réunion les profs dans toutes leurs démarches, qui éditent un bulletin complètement dirigé à gauche, qui envoient des mails concernant des candidats (de gauche) aux diverses élections nationales voire européennes, ce qui n’a rien à voir avec leurs prérogatives. Ces parents là ne peuvent qu’inciter indirectement leurs enfants à militer et à défendre des idées politiques de gauche. Et encouragent les élèves à ce rendre aux manifestations en leurs payant les billets de train.

A 16ans notre esprit critique n'est pas encore assez developpé, on croit trop souvent ce qu'on nous dis, et certain de nos professeurs en jouent un peu trop !

CR